Je me trouvais juste à l' entrée de l' hôpital de Métropolis, j' hésitai a rentré dans ce grand bâtiment ... D'une part parce que l' hôpital est le dernier endroit où j aimerais aller, mais aussi parce que je ne venais pas la pour voir un malade, mais un mort.
En effet, ce matin même quand j'étais allé enquêter sur le crime qu'il y a eu au centre commercial, je me suis retrouvé avec l'unique agent du FBI avec lequel je ne voulais pas être. Donc je suis partie avec Alexander d'Estenar à la recherche d'indices, ainsi que d'informations pour mon article de journal. Malheureusement, nous n'avons pas put en savoir plus sur le crime qui s'était passé. Et je n'ai pas réussi à rassembler assez d'information pour mon article.
Cependant, notre journée fut beaucoup plus mouvementée que ce qui était prévu. Nous étions une super équipe, et avions découvert que le centre commercial caché un souterrain. Malheureusement, nous avions fait une mauvaise rencontre... C'est pour cela que ce soir, je me retrouve à l'hôpital. Je suis venue voir le corps, d'Alexander... C'est tout ce qu'il reste de lui, un corps sans âme …
Je me décidai enfin à rentré dans le bâtiment. Même si je marchais d'un pas lent et peu assuré, je restais droite, la tête haute pour ne pas attirer les regards sur moi. Sauf que le bruit de mes talons résonné dans tout le couloir de l'hôpital, alors même si les personnes se retourner à mon passage, ils ne prêtent pas grande attention à moi. Je marchais tranquillement jusqu'à la morgue, et en arrivant devant la porte, je m’arrêtai net. Je ne me sentais pas capable d'entrée dans cet endroit glacial ou règne un monde sans vie.
A ce moment précis j'avais peur, tout à l'heure, quand j'ai laissé seul Alexander à la cave, les agents l'on découvert dans un salle état. Ils ont décrété qu'il était mort, alors es ce vrai ou faux ? Tel est la question du jour... Je pense qu'au fond de moi, j 'ai peur de connaître la vérité sur cet fameuses famille mystérieuse, qui m'avait laissé sans voie, à la bijouterie...
Ne voulant plus pensée, au fait qu'il ait une femme cachée avec des enfants, je pris une grande inspiration et entrai dans la pièce sombre, où était exposé sur un brancard en fer, le cadavre d'Alexander recouvert d'un drap blanc. Je refermai la porte doucement et avançai lentement vers lui, toujours avec le bruit de mes talons qui résonnent. Je lui enlevai le drap, et découvris sa poitrine. Avec étonnement, je remarquai que sa blessure était guéri. Ne pouvant pas en croire mes yeux, je posai ma main à l'endroit où la balle avait heurtait sa chair. Et en touchant Alexander, je constatai que la température de son corps était légèrement tiède...
Je réalisai qu'il n'était pas mort, mais bien en vie. A ce moment précis, tout les doutes que j'avais sur la famille mystérieuse d'Alex, disparurent. Au contraire, j'étais tellement contente et heureuse qu'il soit en vie que je préférai oublier tout. Et tout en laissant ma main sur sa poitrine, je me penchai vers lui et posai mes lèvres sur les siennes.

Au moment où Alexander se réveilla,j'étais en train de l'embrasser. Surpris autant que lui, je fis quelques pas en arrière,pour le laisser émerger.
Il regardait autour de lui, étonné de l endroit où il se trouvait... Cherchant à comprendre ce qui c'était passé ces dernières heures de la journée, il me posa plein de questions, tellement que je n'ai pas pus tout retenir.
Pauvre Alexander, il était complètement déboussolé. Le choc pour lui était de se retrouver à la morgue, sans aucune explication. Il n' y avait que moi dans la pièce qui savait ce qui c'était déroulé ces dernières heures...
Voyant Alex, se levait cherchant désespérément à comprendre, mais aussi il cherchait ses affaires, puisque juste un drap le recouvrait. Je venais de réalisé que il ne portait rien à part un drap... Enfin, si je le savais mais ça m'est complètement sortie de la tête. Un peu honteuse de moi, je rougi et m'éloignai de lui. Au moment ou je reculé, celui ci ouvrit un placard où se trouver ses affaire.
Vu que je me trouvais près de la porte, j'imagine que j'aurais dû sortir de la pièce, le laissé se changer tranquillement, à l abri de tout regard, mais a la place de ça, je répondis à toutes ses interrogations :

Alexander, ce n'est pas moi qui t'es amenés ici, se sont les agents du centre commercial. Une personne t'en veux et c'est amusé à dire aux autorités où tu était, et que tu étais blessé. Sauf que la sécurité en arrivant a la cave, ils ont retrouvé ton corps sans vie. Voilà pourquoi tu te retrouves ici.

J'expliquai rapidement à Alexander la raison de sa présence à la morgue. Celui-ci restait sans voix, comprenant enfin le trou noir de ces dernières heures.  Voyant qu'il commençait à s'impatienter, puisqu'il voulais s'habillait, je continuai dans ma lancé pour lui demander tout ce que j'avais sur le cœur :

" - Alex, j'aimerais savoir ce que tu me cache par rapport à ce qui c'est passé cet après-midi, pourquoi cet pierre te rend si faible ? Et puis comment ce fait t-il que tu sois encore avec nous ? Normalement, avec tout le sang que tu as perdu tu devrait être mort, si tu es un humain ... "

Reprenant rapidement ma respiration, je ne laissai pas le temps à Alexander de répondre et repris mon monologue :

" - Et puis, avant que tu tombes dans le coma, tu as parlé de famille à Sydney. Ça signifie quoi ?? Que ta une femme des enfants ?? Pourtant toute la journée tu m'as regardais avec des yeux amoureux, que tu m'as laissé croire que tu avais des sentiments  pour moi, alors que...que... "

Je commençais à avoir les larmes aux yeux, comme a la bijouterie tout à heure... Sauf qu'il fallait que je reprenne sur moi, il fallait que je lui prouve que j'étais une femme forte. Je pris une grande inspiration, malgré les larmes qui continuaient de coulées sur mon visage. Et continuai de dire ma pensée à l'oral :

" - Je croyais que tu étais tout seul dans ta vie, que tu n'avais personne ... "

Ce fut trop dur pour moi de continuer à parler, et je m'effondrai, pouvant à peine respirer. Ne voulant plus rester seule avec lui dans cet pièce, je décidai de partir. Je tournai le dos à Alex, puis avançai d'un pas lent, pas assuré. A cet instant, lui en profita pour se rapprochait de moi. Je tremblais tellement que au moment où j'ouvris la porte, une main la referma tout de suite. J'ai pu deviner que c'était Alexander qui venait pour me retenir de partir, à cause de son drap blanc qui dépassait.
Au moment ou je me retournai vers lui, il me pris dans ses bras pour me consoler. Ce qui m’étonnai fortement .

[quote="Chloé Sullivan"]Pendant qu'il me serrais dans ses bras, Alexander m'expliqua la vérité sur cette fameuse famille. En fait, il avait une fille qu'il devait protéger du général Zod, ainsi que de son ancienne femme. Maintenant, je comprend mieux pourquoi il m'a donné l'adresse, plutôt la ville, et la famille dans la quel se situe sa bien aimé. Il m'a dit toute ses informations pour que je veille sur elle, pour qu'il ne lui arrive rien.
Contente d'apprendre cette nouvelle, j essuyé mes larmes du mieux que je pu et Alexander s'éloigna doucement de moi pour aller récupérer ses derniers vêtements. Puis il revient vers moi, et me dévoila son secret ... C est bien ce que je pensais, il n'était pas un être humain comme moi. C'est une personne spécial et j'ai envie d'en connaître plus à son sujet. J'aimerais savoir d'où il vient, si il a des pouvoirs et pleins d'autre choses encore.
Tout continuant dans sa lancé, Alex me demanda si je connaissais des personnes qui avait des faiblesses du à la kryptonites verte comme mon meilleur ami mais je ne pense pas que sa soit une bonne idée que je lui dise. En me souvenant de ce qu'il m'avait dit au début, je compris ce qu'il voulait savoir. Donc je lui répondit :

" - C'est pour savoir si Zod a une faiblesse par rapport à la kryptonite verte ? Dans la logique, il kryptonien donc normalement ça serai l'une de ces faiblesses. "

Je m'arrêtai de parler. Je fixai pendant quelques secondes Alexander avant de lui demander des explications sur les relations qu'il a avec son ancienne femme et le général Zod :

" - Qu'es que te veux Zod, pour que tu veille lui faire du mal ? C'est à cause de ta fille ? "

Tout en lui parlant, je regardai a droite à gauche, puis je remarquai qu'il y avait une caméra de surveillance. Je regardai Alex, lui faisant signe de regarder dans le coin. Celui-ci suivi mon regard et la découvrit. On était filmé depuis le début, mais que va t'il se passé quand les personnes qui vont regardais la vidéo et qu'il vont voir qu'une personne morte revient à elle ? Même si, la caméra n'était pas sonorisé, et que son secret par rapport a sa fille ne risqué rien, son secret et en danger. Prise de panique, je m'approchai discrètement d'Alex, pour lui murmurai à l’oreille :

" -Qu'es qu'on fait ? Il faut à tout pris supprimé l'enregistrement ... "

Je reculai d'un pas le laissant réfléchir tranquillement, tandis que moi je tournai en rond dans la pièce. Il fallait trouver rapidement une solution, avant que quelqu'un tombe sur cet enregistrement. En marchant, une idée me viens, mais en analysant plus la situation, je me dit que détruire la caméra ne résoudrait pas nos problèmes, puisqu'il supprimerait pas l'enregistrement.

" - J'ai trouvé ! "

Je pense que je me suis exclamé un peu trop fort... Vite je me rapprochai d'Alex et lui chuchotai mon idée :

" - Il faudrait trouver la salle de vidéo surveillance. Ainsi, je pourrai pirater le système pour supprimer la vidéo. "

Alexander ne prêta, même pas attention à ce que je disais. Il regardait dans le vide, réfléchissant. Il avait un air sérieux et à la foi pas sur de lui. Je me demandais à quoi il pouvais bien penser. Le laissant réfléchir, je m'appuyai contre le mur car je commençais à avoir mal au jambes. Après toute la journée que je venais de passé, je commençais à être très fatigué. Cependant il ne fallait pas que je m'endorme.
Pour éviter de dormir je me repoussa du mur, ajustai ma veste puis me dirigeai vers la porte.
Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir la porte qu’Alex m'attrapa par l'épaule.

Je n'eux pas le temps d'ouvrir la porte qu'Alexander avait déjà la main sur la poignée, prêt a l'ouvrir lui même. Une fois la porte ouverte, je découvris un médecin en blouse de travail, figé juste devant la salle de la morgue. Surprise voir étonné, je ne comprenais pas ce qui ce passé. Je regardais rapidement autour de moi, oubliant qu'Alex était déjà à l'autre bout de la pièce, je préférais essayé de comprendre ce qui c'était passé. Puis mon regard s'arrêta sur la pendule,et je remarquais que les aiguilles ne tourné plus... Après je ne sais combien de seconde de réflexion, je me dis que c est le temps qui est devait être arrêté.
D'un air interrogateur, je me dit que c'est lui qui a arrêté le temps. C'est l'un de ses pouvoirs. Qu'es que ça doit être bien d'avoir ce pouvoir ? Surtout quand on a des soucis, et que l'on à en marre de la vie, bref tout ça et que l'on veux faire une pause... Que du bonheur, que du rêve... Enfin, c'est juste une pause, et elle ne durera pas une éternité, il faudra bien à un moment ou à un autre affronter les soucis de la vie réelle.
Je reviens rapidement à moi, à la réalité, et aperçu qu'il n'y avais plus Alexander dans mon champ de vision. Vite, je trottinais dans les couloirs de l'hôpital pour le retrouvé. Heureusement pour moi, je n'ai pas eu à courir longtemps, pour le voir juste devant les portes de l'hôpital. Je me dirigeai vers lui, d'un pas plus calme et assuré.

Je traversai les portes coulissantes, puis parti le rejoindre dehors. En arrivant devant lui, je lui dit d'un air rieur :
 
-" Tu m'as fait une frayeur ! "

Après que je me sois exclamée, je remarquai qu'Alexander ne me prêtait aucune attention. Celui-ci était perdu dans ses pensées, comme si quelque chose l'inquiéter. Je me demandais qu'est qui le chagrinait autant.
Je restai fixe quelques minutes, enfin quelques minutes inexistantes, pour le contempler dans sa réflexion. Il regardait dans le vide avec un visage pensif, sans aucune expression, juste les lèvres pincer. Ses bras étaient étendus le long de son corps, ses mains rangeaient dans les poches de son pantalon noir. Contrairement à son expression du visage, sa posture montrait qu'il était zen, décontracté, sans plus. Que rien ne le tracassait...
Tout ça m'intriguais, et me paressais à la fois normal et banal. Au fond de moi, je pense que il n'a pas envie de me montrer qu'il a ses faiblesses, d'un côté c'est normal, mais je sais aussi que même en étant un héros, puisque c'est ce qui l'est, on a besoin de repos, de calme. Enfin d'une pause, tout simplement. Après, son expression peut exprimé qu'il est gêné, surtout par rapport à ce que j'ai pus découvrir sur lui et ses fameux pouvoirs. Je pense qu'il n'a pas à s'inquiéter avec moi, même si je suis journaliste, son secret sera bien gardé ...

En attendant, je lui pris délicatement la main, pour le rassuré un peu, ne cherchant pas à en savoir plus sur cette inquiétude, malgré mon envie de savoir qu'est ce qui le tracasse. C'est pas toujours bien d'être trop curieuse, malheureusement c'est bien mon plus grand défaut...

Pour l'instant, je le tira vers moi pour lui faire un câlin et lui chuchota à l'oreille :

-" La journée a était longue pour nous deux, je pense que l'on mérite de se retrouver dans un endroit calme tout les deux, comme par exemple chez moi ! "

Arrivais à hauteur de ma voiture, je ne pus m'empêcher de me questionnais sur toute cette journée... Cette balle en pierre blanche qui l'atteint en plein, ainsi le tuant, il revient à lui. Ensuite cet arrêt de temps, ou toutes les personnes sont figé et les aiguilles d'une horloge sont complètement arrêter aussi. Mais qu'es qu'il est, un krypto-monstre, une autre personne venu d'ailleurs ? Toutes ces questions se bouscule dans ma tête, mais reste indéchiffrable. Alors je n'ai pas pus contrôler ma curiosité plus longtemps, et me posta devant Alexander, l'arrêtant net dans sa marche. Pour qu'il prête attention à moi et qu'il me réponde franchement :

-" Alexander, il faut vraiment que tu me réponde clairement. Comment se fait t'il qu'après t'avoir enlevé cette balle tu reviennes à toi alors que tu es mort, comment tu peux arrêter le temps ? Dis moi, tu viens d'ailleurs ? Mais d'où ? Et surtout y à t'il d'autre chose que je devrais savoir a ton sujet ? "

Après avoir finis ma tirade de question, je restais immobile devant lui attendant une réponse. J'espère tout au fond de moi que je ne l'ai pas trop brusqué, et que ça ne mettra pas un froid entre nous deux. Parfois je me montre vraiment trop curieuse, et je ne pense pas que ça ne peux pas être bon pour un couple. Enfin faudrait-il qu'il soit déjà mon petit ami... Mais là c'est vraiment mal parti. Surtout qu'il n'a pas répondu à mon bisous sur la table à son réveil, c est vrai c'était pas vraiment le moment tout à l'heure. Tout en repensant à ce baiser, je mourais d'envie de le reprendre dans mes bras, et de l'embrasser, oubliant toute cette journée qui nous a réuni. À ce moment là j'espérais qu'il est le pouvoir de lire dans mes pensées, pour qu'il réalise mes vœux, dont je ne suis pas capable de faire.

La suite du RP se trouve ici:

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