Voici donc le jour J qui venait d'arriver à grand pas. Aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, non ! J'allais respecter la promesse que j'ai fais il y a une semaine à mon ex-fiancée Alyssia Fields. J'allais lui permettre de revoir une personne qui est sortit de ses entrailles il y a, à peu près sept ans, Laura, notre fille Laura d'Estenar. En effet, je lui avais promis cela, et au jour d'aujourd'hui, je suis venu en France, dans le Sud-Ouest proche de la ville de Bordeaux. J'attendais à l'aéroport de Mérignac, l'avion qui devait arriver de Sydney. Dans lequel se trouvait Isabelle Guérin et Laura. Je ne pouvais pas prendre le risque d'y aller en volant c'était trop dangereux c'est pourquoi j'ai moi aussi pris un avion pour venir jusqu'ici et j'avais, au préalable, avertis Alyssia Fields télépathiquement, cela dans le but que Zod n'en sache rien.


Ici, au moins, nous serions tranquille pour leur retrouvaille, du moins c'est ce que nous croyons tous ... L'avion arrive, et voilà Isabelle et Laura qui descendent de l'avion et s'approchent de moi.


"Comment tu vas ma petite Laura, ta semaine s'est bien passée depuis l'autre jour ?" Demandais-je à ma fille lorsque je la pris dans mes bras pour l'embrasser
Je salua ma chère amie Isabelle: "Bonjour Isa, tu vas bien ?" Lui demandais-je
"Bonjour Alex, moi je vais bien et toi ?"
"Ca va bien merci. Merci encore pour tout ce que tu fais pour nous, c'est très sympas de ta part"
"Ce n'est rien, tu ferais pareil pour moi"
Je lui répondis d'un sourir avant que celle-ci ne parte dans la direction opposée à la notre.


Laura et moi allions jusque dans un taxi, ce n'est qu'une fois à l'intérieur que je lui avoua: "Te rappelles-tu la semaine dernière lorsque je t'ai dis que je te réservais une surprise ..." Je pris une pause "... Et bien, aujourd'hui, tu vas retrouver quelqu'un à qui tu manques beaucoup et qui doit te manquer beaucoup aussi !!" Lui dis-je mais sans lui révêler de qui je parler


Le taxi nous fit traverser le Médoc via la route des châteaux. Plusieurs châteaux magnifiques s'enchaînaient à mesure que nous nous enfoncions entre les vignes du Médoc. Je me rappelle très bien avoir donné rendez-vous à Alyssia Fields derrière le Château Pichon-Longueville et c'est juste devant ce même château que le taxi nous déposa.
J'avançais, en compagnie de Laura, jusque devant ce château que nous contournions. Il était vraiment magnifique mais ce qu'il me faisait plaisir c'est les évênements qui suivirent lorsque Laura et moi arrivions derrière le grand et majestueux château où Alyssia Fields nous attendait. Elle était dos tourné lorsque je l'interpella: "Chose promise, chose dûe ma très chère Alyssia." Je pris une pause lorsque je la vis se retourner "Je t'avais dis que je tenais toujours mes promesses !"

Ce matin, Isabelle était venue me voir en m’annonçant que j’allais rencontrer quelqu’un que j’aimais beaucoup. Je lui avais demandé de qui il s’agissait mais celle—ci m’a dit qu’elle n’en avait pas le droit. Plusieurs questions se bousculaient dans ma tête, qui voulait bien me rencontrer moi Laura d’Estenar ? Je devais donc me préparer pour cette rencontre mystérieuse, Isabelle m’aida à peigner mes longs cheveux blonds. Ils étaient soyeux et bouclés en leur extrémité, mon père m’avait dit que je les tenais de ma mère. Je ne connaissais rien de la femme qui m’avait mit au monde, mon père m’avait dit qu’elle nous avait quitté il y a 5 ans de cela dans mon propre intérêt. J’avais beau m’être forger en débit de mon jeune âge la plus épaisse des carapaces ma mère me manquait terriblement. Pas un jour ne soit passé sans que dans mon esprit de petite fille je m’imagine à quoi pouvait ressembler la femme qui m’avait mise au monde. J’essayai d’imaginer son visage, la couleur de ses yeux et le son de sa voix. Isabelle me coupa dans mes pensées en me disant qu’il était l’heure d’y aller. Nous nous rendions à l’aéroport pour retrouver mon père qui ne tarda pas à nous rejoindre, il me prit dans ces bras et me demanda comment j’allais. Il en vint ensuite à me dire que j’allais rencontrer quelqu’un qui me manquait terriblement. Nous partîmes en direction du château de Pichon-Longueville. Durant le trajet j’assaillis mon père de questions : Qui était cette mystérieuse personne que je devais rencontrer ? Pourquoi cette rencontre devait elle rester secrète ? Tant de questions sans réponse embrumaient mon esprit. La voiture se gara devant le château, nous descendîmes du véhicule. Mon père me prit ma main et remercia Isabelle pour tout ce qu’elle avait fait pour moi. Nous contournâmes l’édifice afin de se rendre dans une petite forêt adjacente au château. La foret ne laissait s’introduire aucun rayon de lune et c’est à cet instant là que je vis une silhouette se découpait dans l’obscurité. Je ne la reconnu pas immédiatement, ce fut lorsque mon père prononça ce prénom : Alyssia que je compris. Elle se retourna. Je me trouvais désormais à quelque mètre de ma mère vivant la rencontre dont j’avais tant rêvait. Je ne savais comment agir ; je la regardai les yeux grands ouverts ; Elle était belle. Mon père avait raison elle me ressemblait.

Ce matin là je me levai impatiente d’arriver au rendez vous qu’Alexander m’avait donné et durant lequel je rencontrerai ma fille : Laura. Ce jour, je l’attendais depuis longtemps, tant de journées passées à imaginer ma fille, à quoi elle ressemblait depuis que je l’avais quittée c'est-à-dire il y a à peu près 5 ans. Au jour d ‘aujourd’hui je l’imaginais mignonne comme une fille de 7 ans environ avec les cheveux blonds mais, j’allais avoir la réponse à mes imaginations dans très peu de temps.  Alexander m’avait informé du lieu de rendez vous par télépathie afin que personne qui pourrait lui nuire à lui et à ma fille ne soit au courant et débarque. Le lieu de rendez vous était donc le Château Pichon-Longueville situé dans le sud ouest de la France.

Pour y arriver rapidement j’avais décidé de m’y rendre en volant. Mais pour garder la discrétion j’avais stoppé mon vol dans un petit patelins ou j’étais certaine que personne ne me remarquerai. De là, j’avais avancé jusqu’à la ville la plus proche ou j’avais pris un taxi afin de me rendre non loin du château.
Voilà que maintenant j’attendais mon rendez vous avec impatience derrière le magnifique château Pichon-Longueville. C’est quelques minutes après que j’entendis la voix d’Alexander et des pas avancer vers moi. Il parla, je me retournai. C’est à ce moment là que je les vis. Bon pas de surprise à voir Alexander étant donné que lui cela ne faisait même pas une semaine que je l’avais vu mais quant à Laura, je la regardai avec de grands yeux qu’elle-même devait avoir peur. Je n’osai pas quoi faire. J’avais envie de la prendre dans mes bras mais si jamais elle refusait ?

Je mis nerveusement ma main dans ma poche et la je sentis la boîte. La boîte ou se trouvait la bague en kryptonite rouge. Enfin plus tout à fait. Zod me l’avait donnée une semaine avant quand j’eu commencé à jouer ce double jeu avec lui et Alexander et quand il eu entendu ma conversation avec mon ex-fiancée et m’a eu confié cette mission, donner la bague à Laura pour l’allier à Zod. Bien sur je ne pouvais pas faire ça mais il fallait à tout prix que Zod pense que je l’ai fais. Pour cela j’avais établis un plan risqué mais qui pourrait bel et bien marcher. J’avais fait faire chez le bijoutier une réplique identique du bijoux mais sans utiliser la pierre fatale bien entendue et c’était celle-ci que j’allais remettre à Laura. La vrai bague se trouvait cachée dans un tirroir fermé à clé à mon appartement à Gotham City.

Je m’avança vers Laura et son père je saluai ce dernier et quand à ma fille je la prit dans mes bras guettant sa réaction.


-          Ma chérie, si tu savais comment je suis contente de te revoir et au combien tu m’as manqué !

Rien ne me fit plus plaisir que de rendre ma fille, sa mère que j'avais été obligé de lui en séparer. Je les voyais toutes les deux hésiter avant de se serrer dan les bras, je trouvais ça très touchant car d'un côté je savais que cela contribué à mon bonheur même si je ne suis plus en couple avec la jeune Alyssia Fileds, j'avais toujours de l'affection pour la kryptonienne qui me donna une fille, la fille en question, celle qui se tenait entre elle et moi, celle qui ... Comment ? Mais qui vois-je ? Au loin, àà une dizaine de mètres ? Tiens donc mais on dirait un chasseur ? Diantre ! Mais ce n'est pas la saison de chasse me semble-t-il ? Mais il n'a pas l'air ravit de nous voir ... Remarque s'il essait de nous tirer dessus, il perd son temps !! Héhé ... Mais s'il a des balles en kryptonites ? Personnellement les balles en kryptonites ne me dérangent guère mais ma fille et sa mère c'est une autre histoire ...


"Faites attention toutes les deux, il y a un chasseur ! Là bas, à une dizaine de mètres de nous !" J'annonçais celà aux deux jeunes femmes afin qu'elles fassent attention à lui pendant que je me dirigea vers cet homme lentement


Je leva mes mains en guise d'inoncence, je voulais lui montrer que l'on ne lui voulait aucun mal ... Mais ?! Bizarre, au fur et à mesure que je m'approche j'ai l'impression de connaître ce type ? Oui très étrange, je suis sûr et certain d'avoir déjà rencontré cet homme mais impossible d'y remettre un nom dans l'immédiat.


Une fois proche de cet homme je lui annonça en guise de salutation: "Bien le bonjour, cher ami ! N'ayez aucune crainte de notre part, nous ne sommes pas des voleurs, il s'agit juste d'une petite ballade en forêt que j'exerce en compagnie de ma femme et ma fille ..." Je pris une pause "Vous êtes chasseur à ce que je vois mais, si ce n'est point indiscret, la saison de chasse c'est d'Octobre à Février ou une période par là et nous sommes en plein moi de juillet, je ne suis pas sûr de saisir" Je fis signe à Alyssia et Laura pour le dire que tout aller bien pour le moment et qu'elle n'avait rien n'a craindre. Je leur dis de venir vers nous avant de reporter mon regard vers cet homme avec l'intention de commettre une fraude

Le visage de mon père marquait son anxiété, lui qui avait tout fait pour que ce rendez vous soit secret voilà qu’un chasseur venait troubler nos retrouvailles. Mes retrouvailles avec ma mère, la femme que je n’avais vue depuis 5 ans. J’ai été très surprise lorsque j’ai aperçu son visage je lui ressemblais trait pour trait, elle aussi a semblé surprise à ma vue.
Je comprenais pourquoi mon père était nerveux à l’idée que quelqu’un nous surprenne, pendant ces cinq dernières années il avait tout fait pour que personne ne sache ou je me trouvais. Et voilà qu’un homme me voyait en compagnie de mes parents. Mon père partit s’assurer que cet homme était bien ce qu’il assurait être tandis que moi je restais blottie dans les bras de ma mère. J’avais peur de m’éloigner d’elle à l’idée qu’un jour elle disparaisse à jamais. Et même si je la connaissais depuis à peine une heure je me sentais en confiance dans ces bras.
Tandis que mon père se dirigeait en direction du chasseur je ne pus m’empêcher de poser une question à ma mère : Maman pourquoi est tu partis y a 5 ans ?

Ma question resta en suspens car ma mère fixait mon père qui avait entamé une conversation avec cet homme mystérieux. Nous nous trouvions trop en retrait pour entendre ce qu’ils se disaient mais leur discussion semblait mouvementée. Car mon père ne comprenait en rien le fait que ce chasseur chassait en hors période. La première idée qu’eut mon père concernant la présence de cet homme était qu’il nous avait suivit pour nous espionner et pour connaitre ou je me trouvais. Et si jamais le lieu où je vivais était connu de tous, mon existence risquait d’être compromise. Ma mère me prit la main et me guida vers cet homme. Plus je m’approchais plus ma méfiance envers ce chasseur s’accentuait. A mesure que nous avancions ma mère me serrait la main, comme si elle présentait un danger quelconque. Une fois arrivait à leur hauteur un mauvais pressentiment s’insinua en moi.

Je serrai fort la main de ma fille face à cet inconnu. J’avais vu au regard et à l’attitude de mon ex fiancé que celui-ci n’était pas réellement un inconnu pour lui. Mais d’où pouvait-il bien le connaître ? Dans tous les cas, il avait l’air de totalement bien gérer la situation. Cependant je sentais que la main de Laura devenait moite, la peur commençait à se lire dans ses yeux. Quoi de plus normal qu’une telle réaction chez une fille de 7 ans devant un homme tel que celui qui se tenait devant nous, un inconnu.

        Et si les craintes de Laura étaient fondées ? il était vrai que cette période n’était pas comprise dans la saison de chasse, il était donc totalement inhabituel de voir quelqu’un chasser à cette époque et d’ailleurs que chassait-il ? La forêt ne semblait pas être bien grande… je vis qu’Alexander se posait la même question que moi et d’ailleurs il la posa à l’inconnu. J’attendais avec méfiance sa réponse. Arriverait-il à se justifier ?

Tout en serrant la toujours la main de ma fille, je saluai par politesse l’homme qui se tenait devant nous et m’approchait un peu plus de mon ex-fiancé pour pouvoir lui chuchoter quelque chose à l’oreille :

      -Alex, on devrait partir je crois, cet homme est bizarre il ne m’inspire pas confiance, et si, son arme contenait de a kryptonite imagine le danger que cela représenterai pour Laura et pour moi. Je crois qu’on devrait partir avant qu’il ne se passe quelque chose.

       Il était bien possible que notre lieu de rendez-vous ne soit pas si secret que ça, Alex aurait du penser que l’on croiserait quelqu’un ici. Juste à côté d’un grand château, il y avait des risques de croiser le propriétaire ou bien encore des serviteurs de celui-ci. Il était tout à fait probable que l’homme qui se tenait devant nous soit le propriétaire du château. Et après tout, nous étions en France, je ne connaissais pas bien ce pays, peut-être qu’ici les balles étaient toutes en kryptonite. C’était peu probable mais il restait tout de même des risques.

J’assistais à la scène qui se déroulait devant moi impuissante, j’étais inexorablement attiré par le regard de cet homme. Je ne comprenais pas pourquoi mais ce baron ne m’inspirait pas confiance, j’avais l’impression qu’il essayait de lire en moi. Ma mère partageait les mêmes craintes que moi, elle avait tenté d’en parler à mon père qui lu avait répondu qu’on ne craignait rien. Il avait même accepté une invitation à dîner dans son château. Ce qui ne me plaisait guère car cet homme me terrorisait avec son fusil et son regard pénétrant.
Alors que nous nous dirigeâmes vers le château je serrais la main de ma mère avec force. Le baron menait la marche suivi de près par mon père, puis de ma mère et enfin de moi. Une fois arrivé devant la grande porte nous entrâmes dans la demeure du baron. Celle-ci était très peu éclairer pour un château, alors que nous suivions un long couloir menant à la salle à manger, nous croisâmes une femme en train de faire le ménage. Le baron lui demanda de bien vouloir préparer un repas pour ces invités. Nous le suivîmes et entrâmes dans une grande pièce, il y avait une cheminée dans un coin de la pièce. Il y avait également plusieurs trophées d’animaux empaillés, ce qui démontrait les activités du baron pendant son temps libre. Nous nous sommes donc assis autour de la table, moi entre ma mère et mon père. La femme que nous avions croisée dans les couloirs apporta de quoi dresser une table. Elle revint par la suite les bras chargés de succulents plats et nous nous mimes donc à table, le repas se déroula donc sans aucun problèmes apparents. Le baron entretint une conversation tout à fait normale avec mes parents même si ma mère est restait très méfiante envers cet homme.
Tout le long du dîner j’ai eu l’impression qu’il essayait de lire en moi pour savoir qui j’étais réellement. A un moment donné je demandai la permission de me rendre aux toilettes, le baron m’indiqua ou il se trouvait. En m’y rendant je vis un cadre photo je ne pus réprimer ma curiosité et je m’approchais de cette photographie. Il y avait dessus le baron et une jeune femme qui lui ressemblait. Je ne pouvais décrocher mon regard de ce visage ils avaient l’air heureux tous les deux, heureux d’être ensemble. Mais pourquoi restais-je devant cette photo sans pouvoir m’en détourner ? Je sentais quelque chose d’anormal, comme si cette jeune fille n’était pas réelle mais pourtant elle apparaissait bien en chair et en os sur cette photographie. Qui pouvait bien être cette femme ?

La situation ne me mettait pas franchement à l’aise. Me retrouver à manger dans ce château et avec cet homme qui m’inspirait peu confiance m’angoissait. J’avais peur pour ma fille. De plus, Alexander m’avait présenté au maître de château comme étant sa femme. Ce qui n’était pas tout à fait le cas. Je comprenais bien sur qu’i ne pouvait pas s’attarder sur les détails de notre relation bien trop complexes surtout pour un humain comme celui qui venait de nous inviter chez lui. Un sentiment de nostalgie m’envahit à cet instant, et surtout du regret mais, ce n’était pas le moment ni l’endroit pour repenser à tout cela.

Alors que nous étions installés dans la grande pièce autour d’une belle table à manger de très bon plat, il fallait l’avouer, il y avait une très bonne cuisinière dans le château, ma fille, Laura demanda à aller aux toilettes. Tout d’abord je trouvais ce geste tout à fait impoli, au milieu d’un repas et inapproprié mais, bon c’est bien d’une fille de sept ans dont on parle. Bon, notre hôte lui indiqua l’endroit et nous continuâmes le repas, Alex, le maître du château et moi-même. Les minutes passaient, les unes après les autres, et Laura n’était toujours pas revenue je commençai à m’inquiéter.  

Je décidai d’utiliser ma super ouïe afin de vérifier que rien de grave ne se passe. Il n’y avait pas un bruit et le silence m’inquiétait. C’est pour cela que je décidai d’aller rechercher Laura qui s’absentait bien trop longtemps à mon goût ce qui ne semblait pas très poli vis-à-vis de l’homme qui nous avait très gentiment accueillis dans cette demeure. Du moins, c’était l’excuse que je cherchais à me trouver afin d’aller voir ce qu’il se passait, car en réalité, je me souciais peu du fait que ma fille manque de politesse envers notre hôte, ce qui m’importait c’était qu’elle soit en sécurité et dans un tel lieu, étant la propriété d’un homme si mystérieux et qui m’inspirait autant peu confiance que celui qui nous avait accueillis je ne sentais pas vraiment ma fille en sécurité.

- Veuillez  m’excuser, mais je vais aller voir ce que ma fille peut bien faire depuis tant de temps et je n’accepterai pas que Laura manque de respect en s’absentant tant de temps. Et puis, qui sait, elle pourrait bien s’être perdue ou avoir cassé quelque chose. Je ferais mieux d’aller voir. Je ne m’absenterais pas bien longtemps, monsieur, dis-je en m’adressant à notre hôte, je vous laisse en compagnie de mon très charmant mari.


Sur ce , je commençai à me lever en regardant d’un regard insistant mon ex-fiancé lui faisant comprendre que j’étais quasi certaine que quelques chose de vraiment bizarre planait dans l’air.